🇨🇲🇨🇲LA PAUVRETÉ : LA FAUTE DE QUI, QUOI ? 🇨🇲

Les gens émettent l'une des deux hypothèses erronées sur la pauvreté. La plupart ont entendu le premier: c’est la faute de l’individu; à savoir que la pauvreté est causée par la paresse dehh! La seconde est tout aussi stupide: que personne n'est jamais responsable de sa pauvreté...ça aussi dehhh!Quelle est la vérité? 

Une certaine pauvreté est causée par la paresse; une certaine pauvreté se produit là où ce n'est la faute de personne (oui je répète la faute de personne!) mais la plupart de la pauvreté est le résultat de ce que nous, en tant qu'individus, faisons ou ne faisons pas et il est temps que les récits changent autour du sujet dans nos communautés!.

Ghana 🇬🇭 : 😍La femmes la plus stylées du continent : Samira Bawumia.

 Elle est mon idole 😍!!

En plus d’être brillante et engagée pour la bonne cause, elle est belle, naturelle et stylée (en wax, svp !) Une véritable icône de la mode africaine de par son style vestimentaire !!! Elle c’est Madame Samira Bawumia, l’épouse du vice-président ghanéen, Dr Mahamudu Bawumia, la deuxième dame au Ghana.

Les pays comme le Cameroun feront toujours partie du néocolonialisme

🇨🇲🇨🇲Il est temps que le peuple Camerounais arrête de rêver. La fin du colonialisme, dans la foulée des indépendances nationales des années 1950 et 1960, a entrainé, du moins dans bien des cas, le début du néo-colonialisme. Les pays comme le Cameroun feront toujours partie du néocolonialisme, aucune future président ne pourra vous promettre le contraire!!! Par contre, nous avons une chance car nous pouvons choisir quel type de néocolonialisme nous voulons dorénavant! 

Une structure organisationnelle rigide inhibe la croissance

Une structure organisationnelle rigide inhibe la croissance plutôt que d'encourager des interactions significatives. Les connexions sont essentielles, à la fois au sein et au-delà de votre organisation, pour catalyser la croissance. Tirez parti de vos réseaux actuels pour développer une culture d'entreprise améliorée; permettre aux membres de l'organisation d'agir en tant qu'ambassadeurs de la marque dans la sphère publique et au-delà de la ligne de commande.

Christine Logbo-Kossi, première femme Directrice d'une chambre des mines en Afrique de l'Ouest

Côte d'Ivoire: Christine Logbo-Kossi, première femme Directrice d'une chambre des mines en Afrique de l'Ouest

Depuis 2014, Christine Logbo-Kossi est la directrice exécutive du gproupement professionnel des miniers de Côte d’Ivoire (Chambre des mines). Elle a fait partie de la liste du « Top 100 Global Inspirational Women in Mining », publié par l'organisation internationale « Women in Mining » en novembre 2018. La chambre des mines représente les intérêts des différentes compagnies minières du secteur privé en Côte d’Ivoire. Recrutée comme secrétaire exécutif de cette organisation et dans un secteur qu'elle découvrait, trois ans plus tard, elle a été nommée Directrice exécutive. Christine Logbo-Kossi est détentrice d'un doctorat en coopération et solidarité internationale de l'université d’Evry (France), d'un master en communication spécialité relations publiques et événementiel de l'Essec en France et d'un diplôme en administration des affaires de l'université canadienne d’Abidjan. Mariée et mère de deux enfants, elle a aussi fondé et préside le réseau des femmes minières de Côte d’Ivoire ( FEMICI).

Aminata Namasia, 25 ans, la plus jeune députée élue de la RDC.

Aminata Namasia, 25 ans, la plus jeune députée élue de la RDC.

Elle a été élue députée lors des élections législatives du 30 décembre dernier dans la circonscription électorale de Bambesa dans la province du Haut-Uélé (Nord-est). Cette circonscription électorale n’avait qu’un seul siège à pourvoir et comptait 21 candidats dont 16 hommes et 5 femmes.
Aminata Namasia est diplômée en économie monétaire depuis 2017 de la Faculté d’administration des affaires et sciences économiques de l’Université protestante au Congo. Elle fait partie des cinquante femmes députées élues sur les quatre cent quatre-vingt-cinq sièges pourvus. 

Une nouvelle Afrique se construit progressivement...

Source : Hamed Koffi Zarour

ne réfugiée congolaise à l'air libre sous prétexte qu'elle est une malade mentale

Le HCR abandonne une réfugiée congolaise à l'air libre sous prétexte qu'elle est une malade mentale

Le Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) est censé être une institution humanitaire. Où travaillent des personnes qui ont la main sur le coeur. Mais chez nous, ce n'est pas le cas. La preuve, Yvonne Buanenku, 54 ans, est une réfugiée congolaise arrivée au Cameroun il y a trois mois. Elle est abandonnée devant les services du HCR de Douala depuis trois mois, sous prétexte qu'elle est une malade mentale. 

les journalistes témoignent qu'elle jouit de toutes ses facultés mentales. Il n'y a que le palu qui la ronge depuis des mois. Normal, elle passe ses nuits à l'air libre sur un carton sous une petite moustiquaire. 

Je me demande où est passée notre hospitalité légendaire dans ce pays?

Sade Morgan, nouvelle Directrice "Corporate Affairs" de Nigerian Breweries.

Sade Morgan, nouvelle Directrice "Corporate Affairs" de Nigerian Breweries. 

Sa nomination, comme Directrice Corporate Affairs et membre du comité exécutif de Nigerian Breweries a été annoncée le vendredi 1er février.

Créée en 1946, Nigerian Breweries Plc, est la plus grande entreprise brassicole au Nigeria .Avocate à la Cour suprême du Nigeria et membre du barreau du Nigeria, Sade Morgan a débuté sa carrière en 1993 comme avocate et a ensuite travaillé pendant 11 ans pour British American Tobacco (BAT), où elle a occupé plusieurs postes de direction en Afrique, au Moyen-Orient, au Royaume-Uni et dans d’autres régions d’Europe. Elle a notamment travaillé pour BAT au Royaume-Uni, où elle a supervisé les activités de réglementation et de marketing des 86 marchés du groupe BAT situés dans les pays d’Europe orientale, du Moyen-Orient et d’Afrique. En 2014, elle a rejoint Nigerian Bottling Company, membre du groupe CocaCola Hellenic Bottling Company ( 2e embouteilleur de Coca-Cola), comme directrice des affaires publiques et de la communication, avant d'être nommée Directrice des affaires juridiques, des affaires publiques et de la communication.

Khady Dior Ndiaye nommée Vice-Présidente et Directrice Générale

Khady Dior Ndiaye nommée Vice-Présidente et Directrice Générale pour la Côte d’Ivoire de l'entreprise pétrolière américaine Kosmos Energy

Avant sa nomination, annoncée ce mercredi 6 février, la sénégalaise était CEO pour l’Afrique de l’ouest et du centre de Citi Bank ainsi que Directrice Générale de Citibank Cote d’Ivoire SA, entreprise où elle a évolué depuis 1997 et a occupé un certain nombre de postes de responsabilités notamment celui de directrice générale de Citi Sénégal . Dans ses nouvelles fonctions, Khady Dior Ndiaye dirigera les activités de Kosmos Energy en Côte d’Ivoire, pays où la société a acquis, fin 2017, une participation dans cinq blocs offshore contigus couvrant environ 17 000 kilomètres carrés. Elle a débuté sa carrière chez Citi Côte d’Ivoire comme Trader dans la salle des marchés.

Khady D Ndiaye Ndiaye est diplômée de la School of Foreign Service de l’université de Georgetown (Washington D.C.) et est titulaire d’un executive MBA de HEC Paris.

Have Cameroonians lost hope in Politics?

A random sample of the opinions of Cameroonians in various forum on social media reveal a starkly pessimistic view of Cameroon politics, widespread distrust of the country’s political opposition leaders and especially their suspicious inability to compromise, ahead of the upcoming October 7,2018 presidential election. By and large, Cameroonians are frustrated not only with our country’s political system but our ability to talk about political issues in a civil manner, that is, without tribal diatribes and personal invectives. It appears the country is being divided on so many topics and on so many fronts at same time. Our politics has become what could easily be described as a “stone-throwing contest'', where Facebook is used as a platform not for constructive exchanges but a forum where opinions are amplified and angrily expressed. 

It cannot be denied, that Paul Biya’s 36 years long autocratic rule appears to be a more critical factor in informing the way Cameroonians feel about the state of the country’s political institutions. More recently it is also interesting to find out that the people’s trust in our country’s electoral system is eroding. Biya’s prolonged stay in power has caused a total wariness in the electoral process, and a consensual feeling that politicians are out for themselves and beholden to special individual interests due to greed and corruption, in total disregard to the general interests of all. However, the opposition is partly to be blamed for the dysfunction of our political system as since 1991, they have adopted a reactive rather than a proactive approach towards regime change. 

One has the impression that all that matters to them is the function of the Presidency of the Republic and the privileges and powers which the constitution concentrates within the hands of that individual and nothing is done at the level of grassroots politics where from sovereign power emanates. Very few opposition parties have a strong base on the ground, such that the sufferings of the people are at the heart of their political programs in order to empower the youths and motivate them to adhere to their vision. 

Strong views from Cameroonians both at home and abroad believe that the political situation of the country today is a fertile ground for a popular revolution by the people as in the days of ghost towns and sit ins of 1990-1992, that is widely viewed as the only chapter in recent Cameroonian political history wherein the people had a golden opportunity to turn around the destiny of this nation. Today, there’s a different configuration in our political chess game. The regime has succeeded in large part, to divide us to its advantage, by playing on people’s fears. 

Coupled with the ongoing armed conflict in the Anglophone regions, our nation’s politics have reached a dangerous low point. Underscoring the overwhelming antipathy toward this regime, a majority of Cameroonians do not believe Biya’s reelection will be legitimate to bring long lasting solutions to the various crisis the nation is currently undergoing. It is a secret to no one that our major challenge is corruption. 

Endemic corruption is incapacitating this country all the way. In the last 30 years the embezzlement of public funds and overt corruption have ruined our nation, whereby crooked politicians at every level of the government betray the working class, pocketing the profits for public projects and treating the people like sheep. Consequently, the people are tired of hearing promises which they know will never be kept. Corruption is the enemy of our development, and of good governance and we must fight to get rid of it. 

Both the government and the people at large, must come together to achieve this national objective. Let us never forget that government is ourselves and not an alien power over us. We should be a people who put integrity over politics. Voters should want somebody who understands their problems. Finally, it is also important to note that if the masses have to go into a revolution it must be with a prepared plan of social reconstruction, and not only with the feeling that they cannot endure the old regime. We live in very volatile times. And it is very necessary that all of us resist this move toward the militarization and establishment of a more and more authoritarian regime, not just in the Cameroon but in Africa and everywhere else.